Pour nos puissantes querelles qui nous brûlèrent les ailes,
Nos tendresses officielles et nos fuites instinctives ,
Pour ces instants mortels de vrai bonheur bordel !
A contempler le ciel, claquant d’étoiles furtives,
Pour ce grand firmament patiemment dessiné,
Et pour ce ciel vivant où nous nous sommes planqués,
Pour les nombreux tourments si souvent contournés,
Et pour tous les suivants où tu vas me manquer,

Je te quitte ...




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